La Pleurote tardif

En février, partez à la recherche de la pleurote tardif ! Ce champignon ne peut être confondu avec les autres espèces de pleurotes et son apparition tardive lui évite d’être attaqué par les insectes. On pourra le cueillir sur les souches ou les troncs morts. Ce champignon résiste bien au gel. Même si les chapeaux gèlent la nuit, ils reprennent leur croissance dès que les premiers rayons de  soleil réchauffent les sous-bois. Bonne cueillette !

 

© Dominique – foretdorleans.com

 

Chapeau : 4 à 15 cm, bombé puis s’étalant, en forme de console, rein, coquillage ou spatule ; cuticule sèche, lisse, légèrement squamuleuse vers le substrat, visqueuse par temps de pluie, tonalités diverses du gris verdâtre à brun olive en passant par toutes les nuances ocre jaunâtre, brun rougeâtre dans l’âge ;
marge longtemps enroulée, régulière

 

Lames : fines étroites et serrées, faiblement décurrentes, fourchues, arrêt net sur le pied, blanches à crème jaunâtre pâle ;
arêtes régulières et entières

 

Pied : de 0,8 à 1,5 cm de haut sur 0,5 cm, court, robuste, excentré à latéral, aminci vers le substrat, jaune couvert d’écailles sombres

 

Chair : épaisse, coriace, blanchâtre, légèrement amère ;

 

Spores : sporée blanche, amyloïde ;
spores cylindrique-arquées : 6 x 1,5 µm

 

Comestible : Oui, peu de valeurs nutritionnelles

 

 

Attention lorsque vous consommez des champignons. En cas de doute, demandez l’avis à un pharmacien et adressez-vous à une société de mycologie.

 

Source : champyves.fr / Image : foretdorleans.com

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